Une fosse septique — ou fosse toutes eaux — joue un rôle vital dans la gestion des eaux usées domestiques dans les zones non raccordées au tout-à-l’égout. Pour les habitations situées dans les communes de Mons, Rixensart, Charleroi, Namur, Bruxelles, Liège, Verviers, Tubize, Zaventem, Waterloo, Braine-l’Alleud, Braine-le-Comte, Dinant, Nivelles, Mouscron, Tournai, Waremme, Wavre, Arlon, Huy, Philippeville, Ath, Saint-Nicolas, Virton, Bastogne, Soignies, Marche-en-Famenne, La Louvière, Seraing, Fléron, maintenir le bon fonctionnement de la fosse septique est essentiel pour éviter les débordements, les remontées d’odeurs, les pollutions des eaux souterraines ou les problèmes de santé.

Avant de passer aux tests simples que tout propriétaire ou gestionnaire peut effectuer, il est utile de rappeler les principes de fonctionnement d’une fosse septique, les obligations réglementaires (notamment en Belgique) et la fréquence d’entretien (notamment de la vidange). Ensuite, nous détaillerons les tests visuels, les tests de niveau, les tests de fuite, les tests d’écoulement, les tests au colorant, les inspections par caméra ou fumigène, les analyses chimiques et quelques conseils de maintenance proactive. Enfin, nous proposerons une checklist pratique et des recommandations selon les localités belges mentionnées.

Structure et rôle

Une fosse septique est un réservoir enterré dans lequel les eaux usées domestiques (eaux vannes et eaux de cuisine / sanitaires) sont d’abord collectées. À l’intérieur :

Décantation / séparation
Les particules lourdes (matières solides) coulent vers le fond et forment une couche de boue.
Les graisses, huiles et éléments légers remontent à la surface sous forme d’écume.

Digestion anaérobie
Des bactéries anaérobies (sans oxygène) décomposent une partie de la matière organique dissoute, réduisant la charge polluante.

Évacuation de l’effluent clarifié
L’eau partiellement traitée (effluent) est évacuée vers un système de drainage ou un champ d’épuration (drain, tranchée, lit filtrant, etc.).

La performance dépend de la conception (volume, temps de rétention, dispositifs de séparation, ventilation, réseau de drainage) et de l’entretien régulier.

Certaines fosses améliorées ou microstations utilisent des compartiments ou chicanes afin de prolonger le contact entre la biomasse et l’effluent (ex. réacteurs anaérobies compartimentés) pour un traitement plus efficace. 

Importance de la vidange régulière

Avec le temps, la boue s’accumule dans le fond de la fosse. Lorsqu’elle occupe une grande partie du volume utile, elle réduit l’efficacité du traitement, provoque des colmatages et peut conduire à des débordements. On recommande souvent une vidange tous les 2 à 4 ans, selon le volume de la fosse, le nombre d’occupants et l’usage.

En Belgique, les règlements locaux ou les services d’assainissement non collectif (SPANC ou équivalent) imposent parfois des fréquences ou contrôles périodiques. Par exemple, depuis l’arrêté du 26 février 2021 en France, les fosses doivent être contrôlées tous les 10 ans pour vérifier conformité et fonctionnement. Travaux Même si ce texte est français, des principes similaires s’appliquent localement en Belgique (via les réglementations communales ou régionales).

Obligations légales, contrôles réglementaires et rôle du SPANC

Pour les propriétaires dans les communes belges (Mons, Charleroi, etc.), il existe souvent des dispositifs d’assainissement non collectif et des contrôles périodiques imposés par les autorités locales. Voici les points essentiels à connaître :

  • Lors de la vente d’une propriété non raccordée au réseau public, un diagnostic assainissement peut être exigé pour vérifier la conformité et le bon fonctionnement de l’installation
  • La commune ou le service d’assainissement (équivalent du SPANC en Belgique) peut exiger des inspections à intervalles réguliers (souvent tous les 10 ans ou moins selon la commune). 
  • En cas de non-conformité détectée, des travaux peuvent être imposés dans un délai (ex. 4 ans ou 1 an selon le contexte). 
  • Le propriétaire doit souvent tenir un carnet d’entretien mentionnant les vidanges, contrôles et interventions.


Ainsi, réaliser des tests simples, documenter leurs résultats et anticiper les interventions est non seulement utile pour la maintenance mais aussi pour se conformer aux exigences légales locales.

Pourquoi faire des tests simples ?

Avant de recourir à des inspections coûteuses ou des interventions professionnelles, des tests simples permettent :

  1. De détecter tôt des anomalies (fuite, colmatage, dysfonctionnement)
  2. D’anticiper les vidanges ou réparations avant des crises
  3. De fournir des données précises à un professionnel pour un diagnostic rapide
  4. De prouver auprès des autorités ou de futurs acquéreurs que l’installation est correctement entretenue


Voyons donc ces tests simples, classés du plus accessible au plus technique.

Tests simples accessibles à tout propriétaire

1. Inspection visuelle extérieure

Objectif :
Repérer les signes évidents de dysfonctionnement avant toute intervention.

Procédure :

  • Vérifier s’il y a des flaques d’eau ou des sols détrempés autour de la fosse ou du champ d’épuration.
  • Observer s’il y a des odeurs persistantes ou nauséabondes dans l’environnement (jardin, regards, drains).
  • Examiner la végétation autour trop luxuriante ou jaunie (excès d’azote peut signaler des fuites)
  • Vérifier l’état du couvercle d’accès (pas de fissures, de scellement détérioré)
  • Vérifier s’il y a des affaissements ou des déformations du sol à l’aplomb de la fosse


Les signes cités sont des alertes : fuite, suintement, engorgement du sol ou dysfonctionnement du drainage.


2. Vérification du niveau d’eau et de boues

Objectif :
S’assurer que le niveau d’eau est normal et que la quantité de boues ne dépasse pas un seuil critique.

Procédure (en respectant les consignes de sécurité) :

Ouvrir le couvercle d’accès (avec précautions, protections, éviter les chutes ou l’inhalation de gaz).

Utiliser une tige graduée ou un bâton rigide pour sonder la profondeur :

  • Mesurer la hauteur d’eau entre la surface et le fond.
  • Mesurer la couche de boues (le fond solide) et la couche d’écume.
  • Comparer les hauteurs relevées aux repères de sécurité (en général, si la boue dépasse 50 % du volume utile, il est temps de vidanger).
  • Vérifier que le niveau d’eau ne dépasse pas la sortie (ce serait un signe d’engorgement ou de colmatage du drainage).


3. Test d’écoulement des appareils

Objectif :
Vérifier que les eaux usées s’évacuent correctement vers la fosse.

Procédure simple :

  • Faire couler une quantité d’eau (par exemple 50 à 100 litres) à l’intérieur de la maison (lavabo, baignoire, WC) pendant quelques minutes.
  • Surveiller si des remontées, des gargouillis ou des ralentissements apparaissent dans les sanitaires (lavabos, douches, WC).
  • Observer si, en même temps, la fosse montre une montée anormale de niveau.


Si l’évacuation est lente ou bruyante, cela peut indiquer un colmatage dans les canalisations ou un bouchon dans la fosse.


4. Test au colorant (traçage)

Objectif :
Repérer une fuite dans le champ d’épuration ou une jonction défectueuse.

Procédure :

  • Introduire une teinture soluble non toxique (colorant spécialisé ou fluorescéine) dans les toilettes ou le premier collecteur.
  • Observer si la teinture apparaît prématurément dans des regards, puits, drains de surface, ou à proximité du champ d’épuration.
  • Le cas échéant, cela indique une fuite ou un disfonctionnement dans l’infiltration ou le drainage.


Ce test est simple, peu coûteux, et très utile pour détecter des canalisations rompues ou des défauts de joint.


5. Test de fumigène ou gaz traceur (optionnel mais peu coûteux)

Objectif :
Déterminer la présence de fuites de gaz ou de chemins d’air non prévus.

Procédure :

  • Injecter un petit gaz traceur (fumigène, azote ou mélange) dans la fosse ou la canalisation (via un dispositif adapté).
  • Observer les éventuelles émanations ou remontées de fumée dans le terrain, les regards, les joints ou les fissures du couvercle.
  • Une remontée indique une fuite, une fissure, ou un chemin non contrôlé.


Ce test, bien que plus technique que le colorant, peut souvent être réalisé par des entreprises de vidange ou d’assainissement à bas coût.


6. Inspection vidéo des conduits

Objectif :
Vérifier l’intégrité et la perméabilité des canalisations sans démontage.

Procédure :

  • Introduire une caméra (petite caméra d’inspection endoscopique) dans les tuyaux d’entrée ou de sortie de la fosse.
  • Visualiser les obstructions (racines, dépôts, fissures, affaissements) ou les zones de corrosion.
  • Repérer la cause de ralentissement ou de fuite sans creuser.


Ce test est plus coûteux que les précédents, mais il offre une vue directe et précise des conduits.


7. Analyse chimique / échantillonnage de l’effluent

Objectif :
Evaluer la qualité de l’eau en sortie de la fosse pour détecter des dysfonctionnements biologiques.

Procédure :

  • Prélever un échantillon de l’effluent en sortie de la fosse (ou au regard de sortie).
  • Le faire analyser en laboratoire pour des paramètres comme la DBO5 (demande biologique en oxygène), la DCO, les coliformes, les matières en suspension, les nitrates, etc.
  • Comparer les résultats aux normes locales ou aux valeurs attendues.


Si les valeurs sont très élevées, cela peut signaler une incapacité de la fosse à traiter correctement les eaux usées — due à un colmatage, une absence de biomasse active ou un dysfonctionnement interne.

Interprétation des résultats et seuils à surveiller

Voici des repères et seuils indicatifs (à adapter selon les dimensions de la fosse, le nombre d’occupants et les normes locales) :

Paramètre testéSeuil critique indicativeSignification / action recommandée
Hauteur de boues > 50 % du volume utileVidange à prévoirLa fosse doit être vidée pour restaurer le volume utile.
Niveau d’eau au-dessus de la sortieEngorgement ou colmatageVérifier les drains de champ ou canalisations.
Écoulement lent ou remontéesBouchage canalisation ou fosse surchargéeDéboucher ou vidanger.
Colorant visible hors du drainageFuite, fissure de canalisation ou champ saturéRechercher la fuite, réparer les canalisations ou le champ d’épuration.
Fumée remontant dans les alentoursFissure dans la fosse, couvercle mal scelléRéparer les joints, remplacer couvercle ou colmater les fissures.
Résultats chimiques hors normes (DBO, coliformes)Dysfonctionnement biologique interneIntervention professionnelle (vidange, réactivation biologique ou remplacement).

Lorsque l’un de ces seuils est dépassé, il est fortement conseillé de faire appel à une société spécialisée pour un diagnostic approfondi et une réparation.

Checklist d’inspection simple (à faire annuellement)

Voici une liste de contrôle (checklist) que vous pouvez utiliser pour les habitations dans les communes de votre zone :

  1. Inspection extérieure

    • Pas de flaques, pas de suintement autour de la fosse ou du champ

    • Pas d’odeurs persistantes

    • Couvercle intact, sans fissures

    • Sol régulier, sans affaissement

  2. Vérification du niveau d’eau / boue

    • Mesure tige graduée

    • Hauteur boue < 50 % du volume utile

    • Niveau d’eau inférieur à la sortie

  3. Test d’écoulement

    • Couler ~100 litres d’eau continue

    • Vérifier absence de remontée ou de ralentissement

  4. Test au colorant

    • Introduire colorant

    • Vérifier absence d’apparition prématurée

    • Inspecter les regards visibles

  5. Test de fumigène / traceur (optionnel)

    • Injecter gaz traceur

    • Vérifier remontées de fumée dans les alentours

  6. Inspection vidéo des conduits (si accessibles)

    • Visualiser par caméra les canalisations

    • Vérifier intégrité, absence d’obstruction

  7. Échantillonnage de l’effluent

    • Prélever et analyser

    • Comparer aux seuils locaux / normaux

  8. Documentation

    • Noter les résultats, la date, les anomalies

    • Mettre à jour le carnet d’entretien

    • Si anormalité, planifier une intervention


Cette checklist est utile dans les communes de Bruxelles, Namur, Liège, Charleroi, Mons, Rixensart, Verviers, Tubize, Zaventem, etc., pour garder trace de l’état de l’installation.

Recommandations selon les zones géographiques mentionnées

Chaque commune ou région peut avoir ses spécificités (réglementaires, topographiques, sol, climat). Voici quelques conseils adaptés à certaines de vos localités, en particulier en Belgique :

Mons, Charleroi, La Louvière, Soignies, Tournai, Mouscron

  • Ces zones peuvent avoir des sols argileux ou des nappes élevées : le champ d’épuration mérite une attention particulière.
  • Lors du test d’écoulement ou colorant, surveillez les signes de saturation du sol (pressions d’eau, reflux).
  • Pour les foyers plus anciens, il est intéressant d’installer un capteur de niveau de fosse pour anticiper la vidange.

Bruxelles, Waterloo, Zaventem

  • La densité plus élevée impose souvent des contraintes réglementaires supplémentaires (densité, distances, contrôle plus strict).
  • Lors des tests au colorant, attention aux distances des puits ou systèmes d’eau potable.
  • Il peut être utile de vérifier régulièrement les regards de visite des canalisations, notamment dans les zones pavées.

Liège, Verviers, Huy, Seraing, Fléron

  • En raison du relief parfois prononcé, des reflux peuvent survenir : un clapet anti-retour bien entretenu est conseillé.
  • Lors des tests d’écoulement, surveillez la possibilité de poches d’air ou de roulis dans les canalisations inclinées.

Namur, Dinant, Marche-en-Famenne, Bastogne, Virton, Arlon

  • Ces zones rurales peuvent avoir des sols plus perméables ou des champs d’infiltration plus longs.
  • Lors du test de fumigène ou colorant, étendez votre observation sur une zone plus large.
  • Vérifiez l’état du champ d’épuration (racines, végétation invasive).

Braine-l’Alleud, Braine-le-Comte, Nivelles, Wavre, Waremme

  • Ces zones périurbaines peuvent être soumises à des contraintes hydrologiques (infiltration, nappes proches) : surveillez les niveaux d’eau de la fosse.
  • Lors des tests d’échantillonnage, vérifiez plus souvent les résultats en période de forte pluviométrie.

Ath, Saint-Nicolas, Philippeville

  • Dans les zones agricoles, attention aux intrusions de substances (nitrates, engrais) dans le drainage : un test analytique est recommandé tous les quelques années.

  • Lors des tests de fumigène ou colorant, surveillez la proximité des champs ou épandages.

Conseils pratiques et pièges à éviter

  1. Sécurité avant tout

    • Ne jamais entrer seul dans une fosse (risque de suffocation).

    • Ventiler l’ouverture avant inspection.

    • Utiliser des gants, lunettes, masque si nécessaire.

    • Ne jamais allumer de flamme proche (gaz éventuels).

  2. Réaliser les tests progressivement

    • Commencez par les plus simples (visuel, niveau)

    • Passez aux tests plus techniques (colorant, fumigène)

    • Garder des marges de sécurité.

  3. Tenir un carnet d’entretien

    • Date des tests, résultats, anomalies, actions entreprises

    • Cela facilitera les contrôles réglementaires et la revente éventuelle.

  4. Faire appel à un professionnel en cas d’anomalie

    • Si le test colorant indique une fuite, ne pas attendre : intervenir

    • Si l’analyse chimique montre une DBO excessive, il faut rétablir la biomasse ou remplacer la fosse

  5. Adapter la fréquence des tests à la selle

    • Zones rurales ou à usage intense : tests tous les 1 à 2 ans

    • Zones urbaines ou faibles usage : tests tous les 3 à 5 ans

  6. Utiliser des dispositifs de surveillance automatique

    • Capteurs de niveau (fils ou sans fil) pour prévenir le remplissage excessif.

    • Alarmes pour alerter en cas de niveau élevé

  7. Attention aux produits domestiques

    • Éviter les désinfectants excessifs, déboucheurs corrosifs, produits qui tuent les bactéries actives

    • Privilégier des produits naturels ou biodégradables

    • Ne pas jeter de lingettes, huiles, graisses en grande quantité

  8. Prévoir une marge de sécurité pour la vidange

    • Ne pas attendre le remplissage complet

    • Programmer la vidange dès que les boues atteignent ~40 % du volume.

Imaginons une maison située à Waterloo, non raccordée au réseau, avec une fosse de 8 000 litres pour une famille de 4 personnes. Voici un protocole de tests simple à faire :

  1. Inspection extérieure : pas de flaques, couvercle intact, pas d’odeurs
  2. Ouvrir le regard, sonder la boue et l’eau — si la boue ≥ 3 200 L (40 %), prévoir la vidange
  3. Couler 100 litres d’eau via douche + lavabo, surveiller les remontées
  4. Introduire 50 g de colorant soluble, vérifier dans les regards ou zones adjacentes
  5. Si possible, injecter fumigène léger, surveiller toute émission anormale
  6. Si un regard accessible, insérer petite caméra dans la canalisation d’entrée
  7. Prélèvement d’un échantillon avant la sortie de la fosse, analyse tous les 5 ans
  8. Consigner tous les résultats, programmer éventuelle vidange ou intervention


En appliquant ce protocole régulièrement, on anticipe les problèmes avant qu’ils ne deviennent critiques.

Limites des tests simples et quand passer aux diagnostics professionnels

  • Les tests simples ne permettent pas toujours de localiser précisément le problème (par exemple, cloison interne endommagée, microfissures).
  • Une fosse très enterrée ou difficilement accessible peut rendre inutilisables les tests de tige ou colorant.
  • L’analyse chimique peut révéler des anomalies que seuls des équipements spécialisés peuvent corriger (réinoculation bactérienne, remédiation).
  • En cas de revente, les autorités communales exigent souvent un diagnostic complet par un expert agréé.


Quand un test simple révèle une anomalie, la démarche recommandée est :

  1. Isoler la zone suspecte (canalisation, champ, fosse)
  2. Appeler une entreprise de vidange comme Mertens Vidange/ assainissement de la commune (par exemple pour vidange fosse septique Mons, vidange fosse septique Charleroi, vidange fosse septique Bruxelles, etc.)
  3. Demander une inspection plus poussée (vidange partielle, caméra, test de pression, rénovation)
  4. Si nécessaire, faire remonter le dossier au SPANC / service assainissement local.

Cas spécifiques selon les communes mentionnées

Voici quelques points à surveiller ou des suggestions adaptées aux communes que vous avez citées :


Chaque localité peut imposer des contraintes locale (réglementation, densité, nature du sol) qu’il est bon de vérifier auprès de la commune ou du service d’assainissement local avant d’agir.

Conclusion

Les tests simples exposés ci-dessus — inspection visuelle, vérification du niveau, test d’écoulement, test au colorant, test fumigène, inspection vidéo, analyse de l’effluent — constituent un arsenal efficace pour vérifier de façon préventive le bon fonctionnement d’une fosse septique. Ils permettent de détecter tôt les anomalies, d’anticiper les interventions, et de documenter l’état de l’installation, ce qui est particulièrement précieux dans les communes de Bélgique que vous avez citées (Mons, Bruxelles, Liège, Charleroi, etc.).

Néanmoins, ces tests ont leurs limites : si une anomalie est repérée, il convient de faire appel à un professionnel comme  Mertens Vidange , spécialisé pour un diagnostic complet et une intervention adaptée, notamment pour la vidange, la réparation de canalisations, la réactivation biologique ou la mise aux normes du système.

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